Une autre petite
chanson (sur Sur la route de De Palmas)
Je vis qu’pour
le foot
Et plus que toute
autre chose,
Je ne peux m’arrêter, faire une pause,
Car je suis trop stressé,
Pourrai-je encore l’attendre en été ?
Même pour que dalle,
Je peux plus m’en passer
Au fond ça m’fait plus d’bien que d’mal.
Car je vis qu’pour
le foot
J’joue au PLP,
Et plus rien à fout’ de ce qu’on peut penser,
Et si je suis le foot,
Dans mon canapé,
C’est seulement pour y survivre,
Au PLP.
Et j’ai pris
l’habitude
De tomber en pleine béatitude,
Quasiment à chaque fois,
Que ceux derrière moi ne marquent pas.
On d’vient chacal,
Quand tombe tel un couperet,
Enfin le coup de sifflet final.
Car je vis qu’pour
le foot
J’joue au PLP,
Et plus rien à fout’ de ce qu’on peut penser,
Si je suis le foot,
Dans mon canapé,
C’est seulement pour y survivre,
Au PLP.
J’vais faire
un malheur,
Car j’vis qu’pour le foot …